scénario

LE FORUM  → Palm Springs, forum RPG city se déroulant dans la ville du même nom.
LIEN VERS LE SCENARIOS → http://palmsprings.forumactif.org/t214-m-penn-badgley-tres-complique
NOM DU PERSONNAGE → Siegfried au choix
AVATAR → Penn Badgley
NEGOCIABLE→ l'acteur et le nom de famille sont négociables ; le prénom, la profession et l'âge ne le sont pas.
CARACTERISTIQUES → date & lieu de naissance ▲ au choix ; âge ▲ 26 ans ; nationalité ▲ américaine. ; origine(s) ▲ anglaise. ; métier/études ▲ sous-directeur de l'entreprise de son père. ; statut matrimonial ▲ célibataire orientation sexuelle ▲ hétéro ; situation financière ▲ multimilliardaires.
HISTOIRE / PERSONNALITÉ →

Citation :

► quand elle a commencé à parler au lieu de dire papa ou maman comme tout le monde elle a prononcé Sieg' ce qui a fait un peu de peine à ses parents.
► c'est Siegfried qui lui apprit à marcher.
► c'est encore lui qui lui a apprit à nager quand elle avait 5 ans seulement, il lui a fait peur en faisant semblant de se noyer et depuis elle a une peur bleue de l'eau.
► c'est Siegfried qui a dit à ses camarades de classe que sa mère la surnommé princesse, cependant il ne pensait qu'ils allaient s'en servir contre elle.
► Faustin est devenue de plus en plus peste en grandissant et de plus en plus exigeante vis à vis de lui. Ce qui insupportait parce qu'elle semblait ne pas s'en rendre compte.
► Il veut lui faire subir ce que lui a vécu pendant qu'il était à son service.

responsable ▲ froid ▲ poli  ▲
grincheux ▲ fidèle ▲ vindicatif  ▲ aimable enfin ça dépend avec qui  ▲sarcastique ▲
SES LIENS→ FAUSTIN DUNCAN, GOUVERNANTE J'ai 21 ans et je suis gouvernante dans mon ancienne demeure, comment cela est-il arrivé ? Voilà ce que je vais tenter de vous raconter. Quand je suis née, mon père et son ami d'enfance ont eu l'idée d'ouvrir une société ensemble. Son ami avez déjà un fils de 5 ans plus vieux que moi, l'ami de mon père est devenu mon parrain, car mon père n'avait pas de frère, ni de sœur. En revanche ma mère oui, c'est d'ailleurs une de mes tantes qui devint ma marraine. Bref, mon père et son ami gagnèrent beaucoup d'argents et très vite, ce qui me permis d'aller dans une école privée, qui faisait école maternel, primaire, collège, lycée et universitaire, quand j'arrivais dans cette école, Siegfried le fils de l'associé de mon père était en primaire quand j'arrivais en maternelle, j'étais déjà considérée comme une petite princesse. Parce que ma mère m'habillait comme telle et puis, j'étais vraiment une petite peste je dois bien l'avouer. J'avais toujours ce que je désirais, j'étais vraiment heureuse et je ne comprenais pas pourquoi, les autres m'en voulaient de ce que je pouvais faire. Comme de couper les cheveux d'une de mes amies parce que je voulais que les miens soient les plus longs de la classe, le fait, que personne ne devait porter de rose parce que je devais être la seule à porter cette couleur etc…

Oui, j'étais un petit tyran à ma façon, mais bon personne ne se rebellait non plus contre moi, toutefois cela changea quand je fus dans la même section que Siegfried, car oui la maternelle était séparée du primaire. J'avais vu Siegfried à chacun de mes anniversaires et c'était toujours lui qui me donnait les cadeaux que mon parrain avait soigneusement choisis selon les critères de mes parents. Quand je rentrais en primaire, Siegfried était en terminal. Je le voyais souvent avec ses amis, il n'y avait jamais de filles autour d'eux. Moi, je me fis de nouveaux amis et amies d'ailleurs, les garçons étaient très protecteurs vis-à-vis de moi. Un jour Siegfried et sa bande jouait au ballon dans la cours de récréation et le ballon me heurta le dos. Siegfried vint s'excuser qu'il avait lancé le ballon sans vraiment savoir où il irait, un ami à moi est alors intervenu en leur disant que si ça se reproduisait, il y aurait des représailles. Je n'avais rien fait ni rien dit pour que les choses ce calme, car je pensais naïvement que les choses allaient changer. Hélas, les grands nous prirent en grippe et lors du repas de midi, je reçu le contenu d'une assiette sur la tête.

- Alors on fait moins la princesse comme ça, dit l'un des amis de Siegfried.

Je tournais alors mon regard vers lui car c'était le seul à savoir que c'était ma mère qui m'avait donné ce surnom. A partir de cet instant mes amis s'en sont pris à Siegfried et les amis de Siegfried s'en sont pris à moi jusqu'à ce que je rentre au lycée. En primaire, ça avait été plutôt bon enfant, comme de la farine dans ma capuche alors qu'il pleuvait, des crocs en jambes quand je croisais quelqu'un de la bande dans un couloir. Une petite poussée dans la cours de récréation pour que je tombe du muret. Bien sûr, je m'en sortais avec quelques égratignures mais rien de grave.

Au collège ça a empiré, car les filles plus âgées avaient remarqué que je jetais des regards plus ou moins langoureux à Siegfried malgré le fait qu'aucun de ses amis ne m'appréciait. Donc, oui les filles disais-je avaient donc remarqué mes sentiments grandissant pour Siegfried et cela ne leur plaisaient pas alors en associations avec les amis. Un jour, je me suis retrouvée enfermée dans les toilettes et on m'a jeté des seaux d'eau par-dessus celle-ci. De l'eau salle bien évidement parce que de l'eau propre su était trop beau. Je passais donc le reste de ma journée en survêtement pendant que mes vêtements de gym en classe, je reçu pour la première fois de ma vie une retenue. Puis les attaques se firent plus subtiles comme les punaises dans mes chaussures de sport, une poubelle que je reçu sur la tête, sur mon bureau des graffitis du genre "laisse-tomber", "il ne serait jamais assez bien pour toi" etc… Evidemment, je dus moi-même les effacer.

Quand ce fut le temps du lycée, je haïssais vraiment Siegfried, de m'avoir fait souffrir à ce point-là car évidement selon moi s'était lui qui avait tout organisé. Seulement voilà Siegfried avait quitté le lycée, je ne sus pas tout de suite pourquoi mais j'étais quelque part soulagée que c'était le cas. Je me disais que mon calvaire allait enfin prendre fin. Hélas, ce ne fut pas le cas en rentrant chez moi, un jour c'est Siegfried en costume noir qui vint m'ouvrir la porte. Mon père arriva sans que je n'aie eu le temps d'ouvrir la bouche.

- Ma chérie, je te présente ton valet, me dit-il avec un grand sourire.
- Mon valet ?, demandais-je en regardant Siegfried abasourdie par ce que mon père me disait.
- Oui, j'ai racheté les part de son père et je suis maintenant le seul maître à bord, alors vu que Siegfried ne peut plus se permettre d'aller dans une école privée, j'ai eu la bonté d'âme de l'engager en tant que valet, il va veiller sur toi !

Quand mon père me dit cela je devins aussi blanche qu'un cachet d'aspirine, Siegfried ne m'aimait pas et je le savais. Mon père me prit par la main et m'entraîna au premier, là il me montra la chambre de Siegfried. Il n'y avait pas grand-chose à l'intérieur, un tapis et une petite armoire.

- Pourquoi il n'y a pas de lit ?, demandais-je.
- C'est simple, me répondit mon père, à chaque fois que Siegfried te fera progresser il verra son mobilier augmenter, m'expliqua mon père.

Je regardais Siegfried qui ne disait pas un mot et se tenait près de moi. Puis, mon regard revint sur mon père, qui ouvrit une porte que je n'avais pas remarquée en entrant dans la pièce.

- Au moindre de tes désirs, Siegfried devra accourir, c'est pourquoi vos chambres sont mitoyennes, me fit-il remarquer.

J'avais beau ne pas beaucoup aimer Siegfried en ce moment, je trouvais étrange le fait de le retrouver là et en plus, il était sous mes ordres. Siegfried ne disait toujours pas un mot, mon père referma la porte.

- Bon, je vous laisse, tu as s'en doute des devoirs, Siegfried occupe-toi bien d'elle, dit-il avant de nous laisser seul.
- Bien si mademoiselle veut bien prendre la peine de se rendre dans sa chambre.

Je n'avais jamais fait attention à la voix de Siegfried auparavant, elle était grave et un peu rauque, ce qui ajoutait à son charme. Je recommençais s'en vraiment m'en apercevoir à retomber amoureuse de lui. Siegfried obtint très vite son lit ainsi qu'une armoire bien plus grande, il m'aidait pour mes devoirs, ainsi que pour mes leçons, mais aussi il me préparait mon repas tous les jours. De mon côté, je faisais tout pour avoir de bonnes notes afin qu'il ait tout ce qu'il désirait.

Cependant un jour, je reçu une lettre d'amour anonyme en l'ouvrant, je me suis entaillée les doigts, car bien évidement il n'y avait rien à l'intérieur excepté une lame de rasoir. Le jour suivant des punaises à l'intérieur de mes chaussons de sports, le jour d'après je faillis recevoir un vase sur la tête, heureusement celui-ci me manqua de peu. Tout ce que j'avais toujours connu se reproduisait alors que Siegfried n'était plus présent dans l'école. Lors du cours de gymnastique qui avait  lieu le mardi je reçu le ballon de volet en plein dans le nez ce qui me fit saigner, le professeur me dit d'aller à l'infirmerie ce que je fis. Une fois à l'intérieur de celle-ci, l'infirmière me donna de la ouate hémostatique pour arrêter mes saignements de nez. Seulement je ne me sentais pas très bien, elle me fit donc allonger sur un des lits. Une fois que je fus réveillée, il y avait deux garçons et deux filles plus âgées que moi en train de me fixer.

- Tu as fait quitter l'université à Siegfried ?, me demanda l'une des filles.
- Je n'ai rien fait…
- Non, bien sûr c'est ton père qui l'a fait !, rétorqua un des garçons.
- Si tu ne le fais pas revenir ici, on te fera vivre un véritable enfer !, me dit une autre fille.

Je ne pouvais rien rétorquer, je voulais donc en discuter avec mon père seulement, il était tout le temps, très occupé et ma mère était tout le temps de sortie pour faire les boutiques. Le seul à qui je pouvais en parler était Siegfried, mais je ne voulais pas le mêler à tout ça. Un jour, il oublia de me faire mon repas de midi, il venait dans ma chambre après mes cours, mais il ne m'aidait plus à faire mes devoirs et si j'avais le malheur de lui poser une question, il me jetait un regard noir.

Je ne savais pas vraiment pourquoi, il faisait ce genre de chose. Je n'étais pourtant pas très exigeante, vis-à-vis de lui. Du moins si je l'étais, je ne m'en rendais pas compte. Alors que j'avais presque fini le lycée mon père m'annonça qu'une de ses plus riches clients venaient dîner à la maison. D'habitude mon père ne me parlait jamais de son travail, excepté cette fois-là. En fait, il voulait que je rencontre le fils de ce client. C'était un beau jeune homme du nom de Nigel Rhodes. Il était blond et avait un beau sourire, j'étais charmée bien sûr qu'elle fille ne le serait pas. Cependant, j'aimais toujours Siegfried qui d'ailleurs se tenait à mes côtés et mangeait également à nos côtés. Mon père parlait de tout et de rien avec son client quand soudain, ils se retournèrent vers moi.

- Je pense que l'union de nos deux familles, ne seraient pas de trop n'est-ce pas ?, me demanda mon père en souriant.

Je n'avais encore jamais eu de petit ami à l'époque et je pensais finir mes jours avec Siegfried même si ça me semblait impossible.

- Qu'en pensez-vous les enfants ?
- Je n'ai rien contre, répondit Nigel en me souriant.

Je regardais Siegfried recherchant un quelconque signe d'opposition de sa part, mais rien alors je m'inclinais à la décision de mon père. Pendant mes études universitaires, je partageais un appartement avec Nigel. Nous discutions beaucoup mais ni l'un, ni l'autre ne fit le premier pas. A la fin, de mes études quand j'eus 21 ans pour mon anniversaire, j'eus droit à la vision de Nigel couchant avec une femme que je ne connaissais pas.

Je fis donc mes bagages et rentrais chez moi. Seulement, une fois rentrée c'est Siegfried qui vint m'ouvrir, il était en jeans et chemise. Je lui demandais si mon père était présent sans montrer mon désarroi à l'homme que j'aimais et que je trouvais toujours aussi séduisant.

- Cette maison m'appartient désormais, mon père a racheté la société de ton père et il m'a offert cette maison, comme vous n'avez plus d'argent, tu seras de rien avant ma gouvernante !, me dit-il avec un sourire qui en disait long sur ce qu'allait devenir ma vie.
AUTRES → N'hésitez pas à prendre ce scénario très attendu ! o/